mercredi 31 mars 2010

« Pourquoi partir du bleu ? Restons dans le ciel ! »
Petit retour, mais par air cette fois, à Tetiaroa, Moorea et un brin de Tahiti.
Jérôme nous envoie en l'air et nous remue tant que, pendant un moment, j'oublierais de vous faire des clichés. Quelques petites suées chaudes ... Il a abusé ! Passage sur l'aile, des virages serrés ... mais pas sur le dos tout de même ! Ouf, c'est ouf ! Il nous montrait les raies que l'on voit dans le lagon tant l'eau est transparente.


Voici l’endroit où nous sommes arrivés avec le bateau, la fameuse « marche », l’endroit du pique-nique et au fond le gué et l’île aux oiseaux.
Ceci doit être (vu la disposition) Tetiaroa village
Les travaux qui ont fait couler beaucoup d’encre bleue,
et une future piste pour aéroport privé.

Deux petites dernières de l’île aux oiseaux avant de partir pour Moorea
Voici Mouapu (762m) qui a donné la légende Mouaputa.
Les monts de Moorea
Bye-bye Moorea ...
bonjour Tahiti avec son port de plaisance,
l’aéroport, où vous vous poserez si vous venez par ici,
et les autres ports (militaire, commerce et embarcadère pour les gros bateaux de plaisance).

Voilà, Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, vous êtes arrivés à « bon port » et vous pouvez détacher vos ceintures.

Pour les plus curieux, voici la légende du mont Mouapu que j’ai pu trouvé :
Hiro, Dieux des voleurs, et sa bande décidèrent de venir à Aimeo (ancien nom de Moorea) pour lui prendre le mont Rotui (quelle idée !!!). Ils attachèrent de longues lianes au sommet et tirèrent si fort, qu’une partie de l’île en fut presque détachée. Pai, le Dieu des guerriers, qui se trouvait à Tahiti monta à Tataa où la vue sur Moorea est excellente et jeta sa lance. Elle se ficha dans la montagne où elle perça un grand trou (moua-puta, la roche percée).
Tous les coqs de l’île se mirent à chanter et effrayèrent les voleurs (pas très vaillants, ces voleurs !!!). Hiro réussit tout de même à emporter l’extrémité du mont Rotui qu’il déposa à Opoa, dans la partie sud de l’île de Raiatea où cette petite colline, recouverte de bois de fer (aito), différente des reliefs environnants existe toujours.
Nana, ce sera tout pour aujourd'hui
Merci Jérôme

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