Les pirogues double sont là (partie 2)

Les piroguiers sont attendus et le groupe « Taki Toa » est là. Ce sera donc au son des pahu, des mave et des rythmes marquisiens que tout ce beau monde sera accueilli.



Les vahines aussi patientent avec des paniers faits de palmes tressées et remplis de fleurs de tiare. Il fait beau et bien lumineux et ce parfum flottant dans l’air apporte son air de fête.



Voici quelques détails de coques.





Les piroguiers n’ont pas épuisés leur réserve ... de nourriture du moins. Pour eux ... je ne sais pas !



Les délégations descendent afin de se rendre à la fête. Les Fidjiens étaient vraiment très sollicités par les photographes. Marie m’a dit en plaisantant : « Ils s’ennuyaient tant sur les pirogues pour jouer à la vache qui tâche … » !!!





Il faut dire qu’ils avaient leur touche bien particulière avec ces dessins ronds et noirs et ce ruban de tapa noué à la ceinture comme pour un paquet cadeau. Cela m’a bien plu.



Ca y est, tout le monde est là. Les invités sont installés sur des larges bandes de tissus mises à même le sol.



Les musiciens ne vont pas tarder à jouer. Ce « petit reporter » semble bien fier de représenter les îles Cook.



Pendant ce temps, l’Aranui 3 repart pour de nouvelles aventures.



On commencera par un orero qui est un discours mimé et récité en tahitien et qui parle bien souvent de leur île : le « Fenua ».



Il y aura également le chant des mamas



ainsi que des danses avec toujours autant de photographes par ci, par là.



Les danseurs tahitiens ne tarderont pas à être rejoints par les invités tout cela avec grand plaisir. Je ne peux pas vous mettre toutes mes photos bien sûr mais, vous pouvez me croire, tout le monde a le visage jovial, illuminé et les yeux pétillants tout comme les enfants devant leur cadeau de Noël. La fête est réussie.



Les Fidjiens (tout comme les Néo-Zélandais) nous ont ravis avec les différends « haka ».



Cette petite flûte sculptée dans de l’os m’enchantera. Elle a permis à la pirogue de Nouvelle-Zélande d’arriver en musique.



Un petit lien vers Tahiti Presse

Voilà, ce sera tout pour aujourd’hui. Nana.

La prochaine fois, je vous parlerai de "grands hommes" venant d'une "grande île" ...